Amis mélomanes et noctambules, préparez-vous à vivre une soirée inoubliable ! Nous avons le plaisir de vous inviter à la Release Party de Ghoula pour célébrer la sortie de son nouvel album « Demi-écrémé » .
Rejoignez-nous pour une soirée riche en émotions et découvertes musicales, où Ghoula vous présentera son album tant attendu « Demi-écrémé ». Entre mélodies envoûtantes et rythmes endiablés, vous serez transportés au cœur de l’univers unique de cet artiste talentueux.
Et ce n’est pas tout ! Pour rendre cette soirée encore plus exceptionnelle, de nombreux guests seront présents pour partager la scène avec Ghoula. Préparez-vous à être éblouis par leurs performances et à danser jusqu’au bout de la nuit.
Artiste émergent de la scène musicale alternative tunisienne, Ghoula a sorti son premier album « Hlib El Ghoula » en 2016. En mélangeant habilement et la musique traditionnelle nord-africaine et arabe, Ghoula a réussi au fil des années à se démarquer. Rempli de symboles et d’influences, Ghoula a décidé avec son nouvel album « Demi-Écrémé » de livrer un message puissant et universel transcendant les cultures et les langues.
Martin Meissonnier est un producteur de musique, manager, réalisateur et auteur français. Il a commencé sa carrière en tant que jeune journaliste pour le quotidien français Libération dans les années 1970, avant de devenir promoteur de musique et d’amener des musiciens de jazz tels que Don Cherry et l’Art Ensemble of Chicago en France. DJ à radio Nova dans les années 1980. Il a également été producteur musical pour des artistes tels que Fela Kuti, King Sunny Ade, Khaled, Papa Wemba, Manu Dibango, Amina, et beaucoup d’autres.
Usant d’un contrôleur comme du volant d’une voiture bélier, La Louuve t’aligne les chocs frontaux à mesure qu’elle drifte dans les ruelles malfamées du Maghreb. De transitions en tête à queue, elle te passe en revue raï éthylique coupé au dub dans un ping-pong shaabi et post-shaabi pour finalement te faire déflagrer une tripotée de BPMs artisanaux l’espace d’une rotation pointant de la Mauritanie à l’Iran. Trônant à l’ombre de sa pègre Wah Wah Production, elle incarne ce que l’hyperactivisme antihype à de plus ambiancé et de patibulaire. Tout ça dans le souterrain des cauchemars orientalistes.
