Dans un monde en constante effervescence, le temps moderne nous embarque dans une course folle au changement et nous questionne sur notre présent, nos héritages et de ce qui nous lie. En puisant dans les racines des musiques ancestrales, nous avons l’opportunité de retrouver un langage commun, de redonner du sens à nos échanges et d’ouvrir la voie à des formes nouvelles de création. Rage Sacrée se loge dans cette rencontre entre le passé et le présent, entre l’héritage et l’innovation, au carrefour des musiques traditionnelles, de la pop et des musiques expérimentales. Rage Sacrée, c’est cette plongée au-delà des concerts, dans deux jours d’expérimentation en plein équinoxe de Printemps pour célébrer le renouveau et le sacré par la transe, les rituels, avec des concerts atypiques, sensoriels et engagés.
Les artistes programmé.es réinterrogent le passé en écrivant le futur, que ce soit à travers leur musique que dans leurs questionnements face à l’époque. Véritable miroir de notre histoire et de notre culture collective, leur musique possède une capacité unique à transcender les frontières, à unir les individus et à résonner profondément avec notre humanité. Rage Sacrée c’est cette voix intérieure, ce cri du coeur qui mobilise nos histoires pour nous construire un avenir commun.
𝕍𝕖𝕟𝕕𝕣𝕖𝕕𝕚 𝟚𝟠 𝕞𝕒𝕣𝕤 :
𝔻𝕒𝕟𝕚𝕖𝕝𝕒 ℙ𝕖𝕤 – ℂ𝕝𝕒𝕣𝕚𝕤𝕤𝕒 ℂ𝕠𝕟𝕟𝕖𝕝𝕝𝕪 – 𝕍𝕖𝕣𝕕𝕖 ℙ𝕣𝕒𝕥𝕠
𝕊𝕒𝕞𝕖𝕕𝕚 𝟚𝟡 𝕞𝕒𝕣𝕤 :
𝔽𝕣𝕒𝕟𝕔𝕖 – 𝕊𝕙𝕠𝕧𝕖𝕝 𝔻𝕒𝕟𝕔𝕖 ℂ𝕠𝕝𝕝𝕖𝕔𝕥𝕚𝕧𝕖 – ℝ𝕚𝕖𝕟 𝕍𝕚𝕣𝕘𝕦𝕝𝕖
𝔼𝕥 𝕡𝕝𝕦𝕤 𝕒̀ 𝕧𝕖𝕟𝕚𝕣…
Daniela Pes
Daniela Pes est née au cœur de la Gallura en 1992. Daniela Pes est immergée dans le flot de la musique, en tant que chanteuse, instrumentiste et musicienne électronique. son style navigue entre folklore traditionnel sarde, musique électronique et musique expérimentale.
Clarissa Connelly
L’Écossaise Clarissa Connelly s’inspire des sites sacrés et de la culture celtique. Après avoir attiré l’attention avec deux albums hypnotiques qui évoquent Kate Bush chantant sur des mélodies d’anciens sites préchrétiens, elle signe, en 2024, un nouvel album sur le prestigieux label Warp.
Verde Prato
Verde Prato ne se conforme pas aux normes des projets musicaux grand public. Ce n’est pas exactement de la pop, pas tout à fait de l’electronica, et ce n’est pas non plus de la pure folk, mais c’est tout cela à la fois, tordu et transformé en quelque chose de nouveau.
France
Un trio puissant réuni par Yann Gourdon à la vielle à roue, Jérémie Sauvage à la basse et, pour ce spectacle, Romain Simon à la batterie, France pousse le drone et le minimalisme à leur expression la plus extatique et massive, en éliminant la guitare de l’équation en tant que fondement du rock pour laisser la vielle à roue de Gourdon, un instrument propice à l’hypnose et à la répétition, errer librement et intensément le long de cette pulsation. Avec des ancêtres lysergiques dans les accents de Sister Ray du Velvet Underground, le rythme motorik de Neu!, le rock narcotique de Spacemen 3 ou le minimalisme du Dream Syndicate, France tisse de longues digressions autour de rythmes répétitifs et de lignes de basse auxquelles Gourdon déploie son arsenal de quasi-riffs, de distorsion débordante et de rétroaction dans un tout qui, bien que apparemment monolithique, est en perpétuel mouvement. Il n’y a ni début ni fin. Seulement des aperçus de l’éternité.
Shovel Dance Collective
hovel Dance Collective est un groupe de neuf musiciens unis par une passion pour la beauté, la force et la charge politique des musiques traditionnelles de Grande-Bretagne, d’Irlande et au-delà. Ils considèrent la musique folk non pas comme un artefact archéologique à exhumer, mais comme une activité vivante et collective, traversée par une profonde conscience du rôle que la musique traditionnelle joue en portant les voix des opprimés et de ceux qui, par leur travail, créent la richesse du monde.
Rien Virgule
Alors que nos oreilles s’égarent dans la cacophonie d’un monde saturé, noyées par la dissonance et l’excès des bruits qui nous assiègent, Rien Virgule nous invite à explorer des interstices sonores, à ralentir et à résister à la frénésie. Avec ‘Berceuses des deux mondes’, les incendies assourdissants des vacarmes s’éteignent, le volume du monde suramplifié s’apaise, et la musique se fait refuge.
