Chant spectaculaire de la chanteuse californienne Brisa Roché accompagnée par les guitares hantées et paysages électroniques de Nicolas Laureau.
« une esthétique proche du spoken word, mais aussi avec beaucoup de possibilités d’ouverture, quelque chose qu’ils qualifient tous deux de « feu et glace » : en écoutant ces morceaux, en se laissant porter par les harmoniques, la voix, le souffle, on est transporté aux confins de la poésie et du blues, de la no wave et de la pop oblique. Ici tout est possible. (…) On a envie, à l’écoute de leur musique, d’évoquer les paysages de Loren Connors, les échos de Throbbing Gristle, en plus serein, moins acide, mais tout aussi hanté par l’étrange. Nick Cave et Karen Dalton, aussi, quelque part, en fantômes fugitifs. Et puis, il y a aussi dans cette musique, ce son, ces morceaux, quelque chose de la bande qui gravite autour du label Prohibited : des sonorités denses et exploratrices, des envies de découvrir au-delà des frontières imposées. » Joseph Ghosn
Premier album « Outta Sight » le 26 septembre 2025.

Intensité poétique, Lo-fi & haute mélancolie ( comme il n’avait pas de phrase j’ai pensé à ceci. Dit moi si tu as d’autres idées !)
Double retour pour Troy Von Balthazar, leader hawaïen de Chokebore, qui succède à la réédition de l’emblématique Black Black avec un septième album solo apaisant. Enregistré courant 2024 en autarcie, dans son home-studio d’Angoulême, Aloha Means Goodbye est l’œuvre modeste et apaisante d’un artiste qui s’est reconstruit à travers son art. Souvent plus acoustiques qu’électriques, oscillant entre ombre et lumière, ces douze titres se parent de mélancolie mais dégagent une chaleur réconfortante, tel un baume pour les âmes écorchées.
« (…) dans cet équilibre subtil douceur-douleur, l’on trouve l’émotion tant recherchée. Un album intime sans être indiscret, juste rare. » Rolling Stone
« d’une beauté grave et envoutante » Les Inrocks

Folk sauvage, romantic punk & minimalisme excentrique
Ardente et poétique, mêlant réalisme magique, minimalisme, créativité spirituelle et sensorielle à des références musicales éclectiques, la musique de FRANCE DE GRIESSEN a été décrite comme « évocatrice des films de Jim Jarmusch » à travers un « punk sensuel et une folk sauvage romantique et élégante ». D’après Abus Dangereux, “on pourrait la rapprocher de disques de Nico, Buffy Sainte-Marie ou Brigitte Fontaine (…) Toutes ces artistes ont chacune un univers fort qui leur est propre. France aussi. Savoureux”.