Organisé par Petit Bain
mer 01 octobre 2025
19h30

Benefits Volition Immanent Paul Parking

AgendaConcerts
> Tarifs
Sur place : 18€
Prévente : 15€

Benefits

Benefits, c’est l’Angleterre post-Brexit mise avec un uppercut noise punk. Formé à Middlesbrough, le groupe de Kingsley Hall balance des salves de beats martiaux et des diatribes politiques crachées sans filtre, quelque part entre Sleaford Mods et le marteau-piqueur industriel de Godflesh. Après Nails, leur premier album remarqué, ils reviennent avec Constant Noise, un disque qui creuse encore plus profond le sillon de la colère sociale et du désespoir collectif. Pas de refrains, pas de compromis : juste la bande-son brutale d’un pays en ruines, idéale pour ceux qui aiment quand la musique sert à autre chose qu’à tapisser les murs.

Volition Immanent

Volition Immanent, c’est le projet sauvage né de la rencontre entre Parrish Smith et Mark Knekelhuis, deux figures de la scène underground néerlandaise. Sur scène, ce duo convulse entre EBM primitif, techno crasseuse et hurlements possédés, dans une transe où la machine ne laisse aucun répit. Chaque live est une montée en tension, une descente aux enfers qui piétine la frontière entre concert et rituel. Préparez-vous à transpirer au rythme de leurs beats brutaux et de leurs synthés carbonisés comme des pizzas.

Paul Parking

En parallèle des tournées du groupe de rock/noise Psychotic Monks (basse/synthés/chant/trompette), Paul Parking voit le jour en 2024 avec une identité musicale axée autour des synthétiseurs modulaires et de la trompette. Au cœur de la musique et du live : des nappes de synthétiseurs, des percussions, des mélodies et des improvisations à la trompette et à la voix, pré-amplifiées / texturées par le synthétiseur modulaire. Du rythme et de l’espace pour les âmes blessées, pour les gentils•illes qui cherchent l’état de transe et qui aiment se réparer avec le son et la danse.
Paul Parking naît dans un van, sur la route vers une société plus inclusive et tolérante, piloté par ses sentiments amoureux, ses vertiges métaphysiques, sa terreur de la dystopie occidentale et
coloniale, sa colère contre le patriarcat, sa légèreté dans l’auto-dérision, son émancipation par le rire, ses deuils, son besoin d’espoir, sa révolution par l’amour comme dirait Jamal Ouazzani.
La musique de PP naît des feux de détresse, d’embouteillages où l’on ne sait plus trouver sa place ni son créneau dans ce monde ultra-capitaliste qui ne s’arrête pas, qui ne respecte ni l’écologie ni la santé mentale. C’est un encouragement à prendre le temps pour soi, investir les parkings et en faire des jardins.