Déambuler c’est bien, déambuller c’est mieux. Surtout quand de petites bulles font des émules par l’écume cumulée de leurs molécules. Ça t’ondule, ça t’bouscule, tu tombes sur tes rotules. Une goutte englobée, un flocon ensphérisé, ta mer gelée englobullée.
Quelques ridules au loin, quelques cellules en moins, mais la bulle, intercalée dans la cale calcinée, vibr’hurle comme une chouette hulule. La fête trouve son exclamation, elle jette son point-virgule. Plus qu’à ouvrir l’opercule, brandir ta spatule et endosser l’ethos d’Hercule.