Organisé par Petit Bain
mer 22 octobre 2025
19h30

Foudre ! Sanam Eniedocc

Concerts
> Tarifs
Sur place : 18€
Prévente : 15€

Foudre !

«Voltæ (Chthulucene) » est un hommage à l’électricité et aux puissances telluriques, une célébration totale du vivant, une symbiose pour un changement d’épistémè.

« Voltæ (Chthulucene) » est le sixième opus de FOUDRE!, trio habité par Frédéric D. Oberland (Oiseaux-Tempête ), Romain Barbot (Saåad ) et Paul Régimbeau (Mondkopf ). Première œuvre enregistrée en studio, « Voltæ (Chthulucene) » est le résultat virtuose d’une session d’enregistrement, orchestrée par Camille Jamain – ingénieur du son & acousticien. Émerge un album électronique puissant, 8 morceaux au narratif d’album-film d’anticipation qui nous transportent dans les méandres d’une vision néolovecraftienne, dans un monde post-AKIRA, où la vie humaine et non humaine (re)deviendrait possible, où toutes formes de (sur) vivants co-habiteraient à nouveau…

Sanam

La musique de SANAM est un rituel où le rock improvisé, le free jazz et le noise accompagnent un exorcisme du chant traditionnel égyptien et de la poésie arabe.


SANAM s’est formé à la suite d’une invitation à se produire avec Hans Joachim Irmler, membre du légendaire groupe expérimental allemand Faust, lors du festival de musique Irtijal à Beyrouth en 2021. Sandy Chamoun (chant), Antonio Hajj (basse), Farah Kaddour (buzuk), Anthony Sahyoun (guitare, synthétiseur), Pascal Semerdjian (batterie) et Marwan Tohme (guitares) apportent une myriade d’influences acquises au fil des années, que ce soit en solo ou en tant que membres de groupes influents de la scène musicale indépendante très soudée de Beyrouth (tels que Al Rahel al Kabir, Postcards, Kinematik et Oviid).

La combinaison du folklore régional et local avec la poésie, et des formes expérimentales de musique instrumentale, est au cœur de Aykathani Malakon. Chamoun, qui a sélectionné les textes de cet album et qui a fait partie du collectif musical satirique libanais Al Rahel al Kabir, s’est tournée vers des écrivains et compositeurs arabes modernes et contemporains, tels que le poète libanais Bassem Hajjar, dont le poème Aykathani Malakon donne son titre et sa piste d’ouverture à l’album, Paul Chaoul, dont Chamoun récite un poème dans un état d’extase ascendante dans Ayouha Al-Taiin Fi Al-Mawt, et le compositeur égyptien Sayyid Darwish, avec le langoureux Ya Nass, où le buzuk joué par Farah Kaddour occupe une place centrale. Comme le souligne Chamoun, la poésie ou les paroles de l’album représentent « un appel collectif à fuir un état hallucinatoire engendré par l’amour, mais aussi par les mystères mêmes de la vie

 

Eniedocc